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Commune de la vallée de l’Aff, La Gacilly se trouve à vol d’oiseau à 13,0 kilomètres de Redon1, à 48,8 kilomètres de Vannes2, à 50,6 kilomètres de Rennes3 et à 74,6 kilomètres de Nantes4.
Toutânkhamon (né vers -1345, mort vers -1327) est le onzième pharaon de la XVIIIe dynastie (Nouvel Empire). Selon les dernières études génétiques, il est le fils d’Akhénaton et de la propre sœur de ce dernier, dont l’identité est inconnue, mais baptisée Younger Ladyn 3, dont la momie est répertoriée KV35YL2. Manéthon l’appelle Chebres.
On ne sait pas pourquoi ce n’est pas lui qui succède directement à son père. Peut-être est-ce à cause de son trop jeune âge à l’époque, environ neuf ans (on trouve aussi cinq ou six ans), dans une période de troubles, de remises en cause des religions, de bouleversement des valeurs traditionnelles et de risque de guerre avec les Hittites. Il règne jusqu’à l’âge de dix-huit ou dix-neuf ans (certains spécialistes, comme Marc Gabolde et Edward Frank Wente, disent vingt ans). Son règne est situé entre les années -1336 / -1335 et -13271.
Toutânkhamon doit sa célébrité à la découverte de sa sépulture par l’archéologue britannique Howard Carter le et au fabuleux trésor qu’elle recèle. La notoriété de la découverte augmenta grâce à une légende reprise par la presse de l’époque et faisant état d’une malédiction du pharaon.
En 2009, la France est la cinquième puissance économique mondiale par le PIB nominal225 ou la huitième à parité de pouvoir d’achat226. La France est en 2010 le quatrième pays au monde par le nombre d’entreprises figurant parmi les 500 premières entreprises mondiales227. L’économie française est fortement extravertiea 20, notamment vis-à-vis de ses partenaires européens (65 % des exportations françaises228). Cette situation est en partie liée à l’épuisement ou à l’insuffisance des ressources minières et énergétiques du pays, qui l’obligent à importerd 8, et à la taille relativement réduite de ce pays. Mais elle s’explique également par l’importance des exportations. Selon une étude du cabinet d’audit KPMG publiée en 2006, « la France offre globalement des coûts d’implantation plus faibles que ses grands voisins européens, non seulement sur l’énergie, les transports et l’immobilier, mais aussi sur la main d’œuvrea 21 ». Avec une part de marché mondiale d’environ 8 %, la France est le second exportateur de produits agroalimentaires produits sur place, notamment grâce aux exportations d’alcoolsa 22. Néanmoins, le commerce extérieur de la France connaît d’importantes difficultés. Depuis 2004, la France connaît un déficit de sa balance commerciale, de plus en plus creuséa 23 (- 75,4 milliards de dollars en 2009226), une situation qui s’explique en partie par le niveau élevé de l’euro face au dollara 23. Entre 1990 et 2006, la part de marché mondiale de la France dans les exportations de marchandises est passée de 6,3 à 4,1 %a 24 ; la France n’est plus en 2009 que le cinquième importateur et le sixième exportateur mondial226. Selon Eurostat, cette dégradation du commerce extérieur français serait en partie due à une augmentation des coûts salariaux horairesa 25. Le , l’agence de notation Standard & Poor’s (S&P) annonce la dégradation de la note de la France, qui disposait du AAA, la meilleure note, à AA+, avec perspective négative229. Moody’s a abaissé la note de la France d’un cran de Aaa à Aa1 le 230 avec une perspective négative. Le , S&P a encore une fois abaissé d’un cran la note de la France, la passant de AA+ à AA231. Le , S&P a confirmé la notation ‘AA’ de la France, mais a dégradé de ‘stable’ à ‘négative’ la perspective du pays232. Le , l’agence de notation Fitch a dégradé la France pour le deuxième temps à AA233 en l’assortissant d’une perspective stable.
Fin 2016, la France est classée cinquième puissance économique mondiale en termes de PIB nominal, quatrième puissance industrielle et neuvième en ce qui concerne de PIB par parité de pouvoir d’achat.
C’est encore dans une petite ville de Provence que je vous emmène aujourd’hui. Ensuite, nous la quitterons pour assez longtemps puisque j’entreprendrai de vous transmettre une longue série sur la Grèce.
En attendant, je vous souhaite une belle fin de semaine et pas trop de froid pour ceux qui ne jouissent pas de la chaleur toute l’année…
Malte constitue le sud-est de l’archipel maltais composé au total de 8 îles. Elle est séparée au nord-ouest de Gozo, avec entre eux les îles de Comino et Cominotto. Malte est séparée de Comino par le détroit de Malte de 2 600 mètres de large avec le détroit de Gozo entre Comino et Gozo de 2 300 mètres de large. Au sud de Malte, la petite Filfla et son îlot frère de Filfoletta, réserve naturelle, éloignées de 4 500 mètres. Les deux îles de Saint-Paul au nord de Malte ferment la baie de Saint-Paul tandis que l’île Manoel est aujourd’hui reliée à la ville de Gżira.
La commune de Mosset est située dans la région naturelle du Conflent, dans la vallée de la Castellane, entre Campôme et le col de Jau, à 12 km de la sous-préfecture de Prades, et à 55 km de la préfecture, Perpignan.
Depuis le traité des Pyrénées de 1659 qui rattache définitivement la Catalogne du Nord à la France, l’Histoire de Mosset se distingue de l’Histoire nationale des autres villages de moyenne montagne du Conflent sur les aspects suivants.
Un développement économique et démographique important jusqu’au milieu du xixe siècle grâce à ses immenses forêts qui fournissent l’énergie nécessaire au traitement du minerai de fer du Canigou et, en corollaire, une population croissante de forestiers, charbonniers, forgerons et voituriers qui, ajoutée à ses agriculteurs, atteint le nombre de 1350 habitants au milieu du xixe siècle.
Un seul conflit sur son territoire, l’invasion espagnole de 1793 qui ne dure qu’un mois. Une partie des hommes de la localité connaissent ensuite, bien entendu, la conscription et les guerres, soit comme engagés, soit comme remplaçants. L’hécatombe de la Grande Guerre fait 46 morts soit 5 % de la population, le double de ses Morts pour la France au xixe siècle.
Jusqu’en 1789, quelques notables instruits luttent, avec opiniâtreté mais sans succès, contre le pouvoir seigneurial et les privilèges locaux des d’Aguilar, tant sur le plan administratif que sur le plan économique. Avec la Révolution ils peuvent éliminer ce pouvoir et s’emparer des biens des anciens barons. Seuls la forêt et les vacants restent la propriété des descendants des d’Aguilar. Mais ce bien est grevé d’une servitude essentielle : les habitants de Mosset ont le droit de prélever dans la forêt le bois nécessaire au chauffage et à la construction de leurs maisons. Cette forme de copropriété donne lieu à de nombreux conflits et, en 1806, deux gardes-champêtres de d’Aguilar sont assassinés. Quatre Mossétans sont condamnés au bagne de Rochefort où ils meurent rapidement
Il faut attendre l’année 1861 pour trouver une solution satisfaisante pour les deux parties, le cantonnement. Il consiste à transformer un territoire commun en deux territoires totalement indépendants : Mosset reçoit les vacants et la partie basse de la forêt. Et ainsi prend fin un différend de 561 ans qui a ses racines dans la constitution Stratae de Barcelone de l’an 1300. En 1861, la partie haute de la forêt est propriété de Rémy Jacomy, maître des forges des hauts-fourneaux de Ria. Vendue aux enchères en 1883 elle est reprise par le Baron de Chefdebien pour exploiter la carrière du Caillau et alimenter en talc l’usine de Prades. Elle aurait été proposée sans succès, à la commune de Mosset en 1952. Les descendants du Baron de Chefdebien la cèdent à la Caisse Centrale des Assurances Mutuelles Agricoles en 1957. Elle appartient en 2013 à la Mutuelle d’Assurance Groupama. Le domaine classé en zone Natura 2000 implique des engagements avec l’ONF (Office national des forêts) chargé de la cogestion de la forêt et avec l’ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage) dont les agents suivent les espèces sur le territoire.
Apremont était un village de carriers. Les carrières, nombreuses, fournissaient en abondance des pierres de tailleNote 12. Celles-ci étaient acheminées par des bateaux à fond plat qui suivaient l’Allier puis la Loire1. Les pierres ont servi, ainsi, à la construction de plusieurs édifices religieux, tels que la Cathédrale d’Orléans, et l’Abbaye de Saint-Benoît-sur-Loire ; ou encore des places fortes comme l’ancienne résidence seigneuriale de Château de Châteauneuf-sur-Loire1. Une des maisons du xve siècle , devant l’ancien port d’embarquement, porte encore le nom de « Maison des Mariniers ».
S’inspirant de ce passé médiéval, Eugène Schneider, en 1930, aidé de l’architecte de Galea, va entreprendre un patient travail de mise en valeur du village. Ce qui n’est pas en harmonie avec le site est rasé. À la place, des maisons sont reconstruites dans le style néo-médiéval berrichon.
Cinq ensembles assez distincts composent la région. D’abord, sur tout le flanc ouest, le Bocage normand. Au centre, de Caen jusqu’à Alençon, une grande plaine, la plaine de Normandie. Au nord-est, le pays d’Auge. Au centre-est, le pays d’Ouche ornais. Au sud-est, le Perche ornais.