Vos Diaporamas et vidéos – vos voyages – culture, avec les pages de nos amis, Jack "50", Marie-Jo, Michel, Jean-Marie, Guy l'arrié… joie et Cath "l'Oiseau de Feu"
Jeanne d’Arc est une figure historique complexe, souvent perçue différemment selon les époques et les perspectives.
Sainte
Jeanne d’Arc a été canonisée par l’Église catholique en 1920. Elle est vénérée comme une sainte et une martyre pour plusieurs raisons :
Foi et visions : Jeanne affirmait recevoir des visions de saints et d’archanges, lui ordonnant de libérer la France de l’occupation anglaise.
Rôle militaire : Elle a joué un rôle crucial dans la guerre de Cent Ans, notamment en levant le siège d’Orléans et en conduisant Charles VII à son couronnement à Reims.
Martyre : Capturée par les Bourguignons, alliés des Anglais, elle a été jugée et brûlée vive à Rouen en 1431. Son courage et sa foi inébranlable ont inspiré de nombreux fidèles.
Hérétique
En 1431, Jeanne d’Arc a été jugée par un tribunal ecclésiastique anglais et condamnée pour hérésie. Les principales accusations étaient :
Visions et sorcellerie : Ses visions étaient considérées comme suspectes et potentiellement diaboliques par ses accusateurs.
Vêtements masculins : Jeanne portait des habits d’homme, ce qui était contraire aux normes religieuses et sociales de l’époque.
Désobéissance : Elle a été accusée de désobéissance envers l’Église et ses autorités.
Réhabilitation
En 1456, un nouveau procès, initié par le roi Charles VII, a réexaminé les accusations portées contre Jeanne. Ce procès a conclu qu’elle avait été victime d’un procès inique et l’a réhabilitée, annulant ainsi sa condamnation pour hérésie.
Jeanne d’Arc reste une figure emblématique, symbolisant à la fois la foi, le courage et la résistance contre l’oppression. Sa dualité en tant que sainte et hérétique reflète les tensions et les complexités de son époque.
Cath nous présente sa dernière création «La gare de Lyon à Paris».
La Gare de Lyon est l’une des six grandes gares terminus de la SNCF à Paris. Située dans le 12ème arrondissement, elle est un point névralgique du réseau ferroviaire français, desservant le sud-est de la France ainsi que des destinations internationales.
Origines
La gare a été inaugurée en 1900 à l’occasion de l’Exposition Universelle. Elle a été construite pour remplacer une gare plus ancienne et pour répondre à l’augmentation du trafic ferroviaire.
Évolutions
Au fil des décennies, la Gare de Lyon a subi plusieurs rénovations et modernisations. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a été partiellement endommagée mais a été rapidement reconstruite. Dans les années 1970, l’arrivée du TGV a nécessité des adaptations importantes.
Architecture
Style architectural
La Gare de Lyon est un exemple emblématique du style Belle Époque. Sa tour de l’horloge, haute de 67 mètres, est l’un de ses éléments les plus reconnaissables. L’architecture combine des éléments classiques et modernes de l’époque, avec des façades ornées et des intérieurs richement décorés.
Intérieur
L’intérieur de la gare est tout aussi impressionnant. Le hall principal est décoré de fresques représentant des paysages des régions desservies par la gare. Le restaurant Le Train Bleu, ouvert en 1901, est un chef-d’œuvre de l’art nouveau avec ses plafonds peints et son mobilier luxueux.
Services ferroviaires
La Gare de Lyon est un hub majeur pour les trains à grande vitesse (TGV) qui desservent des villes comme Lyon, Marseille, et Nice. Elle accueille également des trains régionaux et internationaux, notamment vers l’Italie et la Suisse.
Intermodalité
La gare est bien connectée aux autres modes de transport. Elle dispose de correspondances avec les lignes de métro 1 et 14, le RER A et D, ainsi que plusieurs lignes de bus. Cela facilite les déplacements des voyageurs à travers Paris et au-delà.
Flux de passagers
Avec plus de 30 millions de voyageurs par an, la Gare de Lyon est l’une des gares les plus fréquentées de France. Elle joue un rôle crucial dans la mobilité quotidienne des Parisiens et des visiteurs.
Impact sur le quartier
La présence de la gare a stimulé le développement économique du quartier environnant. On y trouve de nombreux hôtels, restaurants, et commerces qui profitent de l’afflux constant de voyageurs.
Modernisations récentes
En préparation des Jeux Olympiques de 2024, la Gare de Lyon a subi des travaux de modernisation pour améliorer l’accueil des voyageurs et la fluidité du trafic. Cela inclut la rénovation des quais, l’amélioration des accès et l’installation de nouvelles technologies.
Projets futurs
La gare continue d’évoluer avec des projets axés sur le développement durable et l’innovation technologique. Des initiatives sont en cours pour réduire l’empreinte carbone de la gare et améliorer l’efficacité énergétique.
La Gare de Lyon est un monument historique et un centre de transport vital pour Paris et la France. Son architecture emblématique, son rôle dans le réseau ferroviaire et son impact économique en font un sujet riche et fascinant pour un exposé.
À Chartres, à seulement 2 km du centre-ville historique, se trouvent les fresques de Bel Air. Ce projet culturel local a transformé le quartier de logements sociaux en un véritable joyau artistique qui habille la ville et rassemble ses habitants.
Voici ce que vous devez savoir sur ces magnifiques fresques :
Origine du projet :
Le quartier de Bel Air, situé au nord du centre-ville, n’était pas initialement un lieu touristique. Cependant, lors de sa réhabilitation énergétique en 2015, la Mairie et OPH Chartres Métropole Habitat ont décidé de mieux l’intégrer au reste de la ville grâce à un projet culturel unique.
La coopérative Cité-Création a été chargée d’embellir les façades et pignons avec des œuvres monumentales. Au total, ce sont 4 000 m² de fresques réparties sur 16 façades qui ont vu le jour.
Thématiques des fresques :
Chaque fresque illustre un pan de l’identité de Chartres et de son agglomération :
L’agriculture.
L’architecture du centre-ville de Chartres.
Les bords de l’Eure.
Le parfum.
Impact sur le quartier :
Les fresques de Bel Air ont transformé des façades défraîchies en de véritables œuvres d’art. Colorées, vivantes et variées, elles attirent l’attention de tous les passants.
Les habitants ont participé activement aux 2 ans de chantier, voyant ainsi leur quartier renaître au fil des fresques. Ils sont fiers de voir des « têtes connues du quartier » immortalisées dans ces œuvres.
Visites guidées :
L’office de tourisme organise des visites guidées pour faire découvrir le quartier aux touristes et visiteurs d’un jour.
Le pari est réussi : des œuvres de qualité, un quartier moins isolé et qui donne envie qu’on s’y intéresse.
Si vous êtes de passage à Chartres, ne manquez pas de découvrir ces fresques exceptionnelles !
Amedeo Clemente Modigliani, né le 12 juillet 1884 à Livourne, Italie, et décédé le 24 janvier 1920 à Paris, est un peintre et sculpteur italien qui s’est inscrit dans l’École de Paris. Sa vie brève mais intense a laissé une empreinte indélébile sur l’histoire de l’art moderne.
Jeunesse et Formation
Modigliani grandit dans une famille juive bourgeoise, mais désargentée. Sa précoce vocation d’artiste est soutenue par sa mère. Ses années de formation le mènent de la Toscane à Venise, puis au Mezzogiorno, avant de le fixer à Paris en 1906. La capitale européenne des avant-gardes artistiques devient son terrain de jeu, entre les quartiers de Montmartre et Montparnasse.
L’Évolution de Modi
Très lié à des artistes tels que Maurice Utrillo, Max Jacob, Manuel Ortiz de Zárate, Jacques Lipchitz, Moïse Kisling et Chaïm Soutine, Modigliani devient une figure emblématique de la bohème parisienne. Vers 1909, il se tourne vers la sculpture, son idéal artistique. Cependant, des problèmes pulmonaires l’obligent à abandonner cette voie vers 1914. Il se remet alors exclusivement à la peinture, produisant abondamment tout en vendant peu.
L’Artiste Maudit
Modigliani incarne l’artiste maudit. Sa vie est marquée par l’alcool, la drogue et des liaisons orageuses. Sa compagne, Jeanne Hébuterne, enceinte, se suicide peu après sa mort. Ces clichés, bien que fondés, ne doivent pas occulter l’œuvre de Modigliani.
L’Œuvre de Modigliani
Ses toiles, au style stylisé et sculptural, sont au nombre d’environ 400. Il a également laissé une vingtaine de sculptures en pierre, principalement des têtes de femme. Ces sculptures évoquent les arts premiers que l’Occident découvrait à l’époque. Modigliani a su créer des portraits et des nus aux formes étirées, influencés par des maîtres tels que Cézanne, Picasso et Brancusi.
Héritage et Sérénité
Sa fille, Jeanne Modigliani, a montré dans les années 1950 que la création de son père n’était pas uniquement marquée par sa vie tragique. Au contraire, elle a évolué vers une forme de sérénité. Ainsi, l’art de Modigliani transcende les clichés pour nous offrir une vision unique et intemporelle.
Amedeo Modigliani reste un artiste incontournable de l’École de Paris, dont l’œuvre continue d’inspirer et d’émerveiller les amateurs d’art du monde entier. 🎨🖌️
Vous savez que Cath a l’habitude de nous faire partager les créations de ses amies et amis. Aujourd’hui, elle nous propose un diaporama de son ami Steve, Kuusamo en Finlande.
Jacobus Vrel était un peintre de l’âge d’or néerlandais qui a vécu au XVIIe siècle. On sait peu de choses sur sa vie, et il y a une certaine incertitude concernant ses dates de naissance et de décès. On pense qu’il est né vers 1617 et mort vers 1681.
Vrel est connu pour ses peintures de genre, en particulier des scènes de la vie quotidienne aux Pays-Bas au XVIIe siècle. Ses œuvres représentent souvent des intérieurs avec des personnages engagés dans diverses activités, telles que boire, jouer de la musique et s’adonner à des tâches domestiques. Les détails de ses tableaux offrent un aperçu des coutumes et du mode de vie de la classe moyenne néerlandaise pendant l’âge d’or.
Malgré les informations limitées disponibles sur la vie de Jacobus Vrel, ses peintures sont appréciées pour leur exécution habile et leur capacité à capturer l’atmosphère des scènes domestiques du XVIIe siècle.
Cath qui nous gâte, nous propose cette semaine, une fois n’est pas coutume, un “bonus” , «Neige dans la peinture occidentale», diapo créé par son amie Olga.
Vincent van Gogh (1853-1890) était un peintre post-impressionniste néerlandais, connu pour son style distinctif, ses couleurs audacieuses et son impact émotionnel. Malgré des problèmes de santé mentale tout au long de sa vie, il a créé une œuvre considérable qui a eu une influence profonde sur l’art occidental.
Quelques points clés sur Van Gogh :
Style artistique : Le style de Van Gogh a évolué au fil des ans, passant de travaux sombres influencés par les maîtres néerlandais à des œuvres aux couleurs vives et vibrantes plus tard. Il est connu pour ses coups de pinceau épais et expressifs ainsi que pour l’utilisation de l’impasto, une technique où la peinture est appliquée en couches épaisses.
Œuvres célèbres : Certaines de ses œuvres les plus célèbres comprennent “La Nuit étoilée”, “Les Tournesols”, “La Chambre à coucher” et “Les Iris”. “La Nuit étoilée” est particulièrement emblématique, avec son ciel nocturne tourbillonnant et le petit village en dessous.
Expression émotionnelle : L’art de Van Gogh est souvent considéré comme le reflet de son état émotionnel. Son utilisation de la couleur et de la technique de pinceau est censée transmettre ses sentiments, et ses lettres à son frère Theo offrent un aperçu de ses pensées et de ses luttes.
Santé mentale : Les problèmes de santé mentale de Van Gogh, y compris des épisodes de dépression et de psychose, ont joué un rôle significatif dans sa vie et son art. Il est même allé jusqu’à se mutiler une oreille pendant une période de tourmente émotionnelle.
Héritage : Bien qu’il n’ait vendu que quelques tableaux de son vivant et qu’il ait connu des difficultés financières, l’œuvre de Van Gogh a été reconnue et appréciée après sa mort. Aujourd’hui, il est considéré comme l’une des figures les plus influentes de l’art occidental, et ses tableaux font partie des plus précieux et des plus connus au monde.
Fin tragique : La vie de Van Gogh s’est terminée de manière tragique lorsqu’il s’est suicidé à l’âge de 37 ans. Malgré ses difficultés pendant sa vie, son impact sur l’art et la culture n’a cessé de croître depuis sa mort.
Le Château de Pierrefonds est un château médiéval situé dans la commune de Pierrefonds, dans le département de l’Oise, dans la région des Hauts-de-France. Voici quelques détails importants à propos du Château de Pierrefonds :
Construction et Histoire :
Le château d’origine sur le site a été construit au XIIe siècle, mais a été plus tard détruit au cours du XVIIe siècle.
Au XIXe siècle, l’empereur Napoléon III a décidé d’entreprendre un projet de reconstruction et de restauration du château dans le style médiéval. La restauration a été dirigée par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc, connu pour son travail sur divers bâtiments historiques en France.
Architecture :
Le Château de Pierrefonds est réputé pour son apparence pittoresque et féerique. La reconstruction sous Viollet-le-Duc a été influencée à la fois par la recherche historique et les idéaux médiévaux romantiques.
Le château présente des éléments d’architecture gothique et Renaissance, avec des tours, des tourelles et un pont-levis, lui conférant une esthétique médiévale distinctive.
But :
À l’origine, le château servait à la fois des fins militaires et résidentielles. Il était positionné de manière stratégique pour contrôler la route entre Compiègne et Soissons.
Aujourd’hui, le château est principalement une attraction touristique, attirant les visiteurs par sa beauté architecturale et son importance historique.
Culture Populaire :
Le Château de Pierrefonds a été présenté dans divers films et séries télévisées. Un exemple notable est la série de la BBC “Merlin”, où il a servi de toile de fond pour Camelot.
Visite :
Le château est ouvert au public, permettant aux visiteurs d’explorer ses différentes salles, tours et cours. Des visites guidées sont disponibles pour en apprendre davantage sur l’histoire et l’architecture du château.
Et cette fois-ci encore, Cath nous propose des diapos reçus de ses connaissances et ami(e)s…. Mais laissons Cath présenter ce diaporama réalisé par Miri, sur le Kibboutz de Holit
Voici des nouvelles de notre amie Miri.
Elle nous présente un kibboutz où ont séjourné deux de ses petites-filles qui, aujourd’hui sont dans les forces de défense de leur pays, c’est-à-dire au combat.
Je vous ai mis la traduction de son courriel, comme l’a fait Arlette la Suissesse.
Bonjour à tous,
Holit est un kibboutz du conseil régional d’Eshkol, à 2 km de la bande de Gaza, faisant partie des 20 kibboutzim de la région d’Otef Aza. Ce kibboutz a été infiltré par des terroristes le 7 octobre qui ont commis les massacres horribles.
Mes deux petites-filles étaient stagiaires à l’école préparatoire pré-militaire du kibboutz, « l’école préparatoire du Néguev », Lihi en 2022 et Eden en 2023. Aujourd’hui, les deux sont des soldats des forces de défense israéliennes.
Une école préparatoire pré-militaire est un cadre éducatif destiné uniquement à ceux qui désirent être affectés au service de sécurité et à ceux qui veulent être enrôlés dans l’armée. Ceux qui n’ont pas l’intention de s’enrôler dans l’armée ne peuvent pas être admis à l’école préparatoire. Les objectifs de l’école préparatoire sont de préparer les apprentis au service complet de la FIL : à l’éducation, à l’engagement social et civique. Les jeunes qui rejoignent l’école préparatoire reportent leur service et s’enrôlent dans l’armée israélienne environ un an plus tard.
Les stagiaires se portent volontaires au kibboutz et travaillent dans les différentes branches : l’élevage des animaux, les plantations, le travail d’usine et les arts. Ils s’adonnent également à organiser des soirées avec chant et danse et un vendredi par mois un dîner communautaire est prévu.
Chaque stagiaire a une famille adoptive du kibboutz, et chaque mardi soir, il dîne avec la famille adoptive.
L’éducation informelle dans le kibboutz pour les 3-18 ans est uniquement sur les épaules de l’école préparatoire, et donc chaque enfant rencontre les élèves de l’école préparatoire dans une activité éducative.
La région est connue pour ses étonnants tapis de fleurs d’anémones. Chaque année, en février, se tient le festival « Darom Adom » (Southern Red Festival), un festival de la nature qui est entièrement un hommage au Kalanit – (Anémone).
Les stagiaires de l’école préparatoire de Negev Holit font du bénévolat au festival, ouvrent un stand et organisent des activités pour les enfants.
Cette année, il n’y aura probablement pas de festival. Il sera difficile de voir les magnifiques champs de fleurs et de penser à tout ce que les habitants des colonies du sud ont traversé. Comme l’a écrit Adi Lachman-Sofer dans le poème « Be’eri » : L’hiver viendra bientôt, des nuages pleureurs arroseront la terre et des tapis rouges pousseront. D’abord la fleur d’anémone, et personne ne viendra voir sa beauté, puis après elle, la fleur de renoncule, et il n’y aura pas de festival. Et enfin, la fleur de pavot.
—oOo—
Nous avons rendu visite à Eden (l’une de ses petites filles) au kibboutz quelques mois avant le massacre du 7 octobre 2023.
Les photos de la présentation ont été prises par moi lors de cette visite, et certaines par mes petites-filles qui vivaient au kibboutz.
—oOo—
À Holit, il était d’usage de tenir une réunion pour les diplômés de toutes les écoles préparatoires à la deuxième fête de Souccot, qui est la fête de Sim’hat Torah. Cette année, pour diverses raisons, la réunion a eu lieu le premier jour férié de Souccot. Et ainsi, il s’est avéré que les stagiaires du séminaire, le personnel du séminaire et les diplômés du séminaire n’étaient pas au kibboutz le jour du sabbat noir du 7 octobre, ce qui est un miracle.
Ma réflexion sur le destin : peut-on parler de miracle ou bien de hasard ?
L’île Saint-Louis, située au cœur de Paris, en France, est célèbre pour son architecture remarquable, notamment ses bâtiments historiques et son charme architectural du XVIIe siècle. Voici quelques exemples d’architectures remarquables sur l’île Saint-Louis :
Hôtel Lambert : L’Hôtel Lambert est un hôtel particulier construit au XVIIe siècle par l’architecte Louis Le Vau. Il est considéré comme l’un des plus beaux exemples de l’architecture française classique. L’hôtel a été le lieu de résidence de nombreuses personnalités historiques, dont Voltaire et l’écrivain polonais Adam Mickiewicz.
Hôtel de Lauzun : Cet hôtel particulier du XVIIe siècle est un chef-d’œuvre de l’architecture de l’époque. Il se caractérise par ses belles façades, ses jardins en terrasse et ses intérieurs somptueux.
Hôtel de Bretonvilliers : Cet hôtel particulier est un autre exemple d’architecture du XVIIe siècle sur l’île Saint-Louis. Il possède une façade élégante et est aujourd’hui le siège de l’Académie de la Société d’histoire de l’art français.
Église Saint-Louis-en-l’Île : Cette église du XVIIe siècle est un exemple d’architecture religieuse de l’époque classique. Elle est connue pour son dôme en forme de lanterne, ses beaux autels et son orgue historique.
Les maisons de l’île Saint-Louis : L’île est parsemée de maisons en pierre de taille aux façades bien entretenues, chacune avec son propre charme. Les rues de l’île Saint-Louis offrent un exemple unique de l’architecture parisienne du XVIIe siècle.
L’île Saint-Louis est un quartier préservé au cœur de Paris, et sa visite permet d’admirer de nombreux exemples d’architecture remarquable qui rappellent l’époque classique de la France. Elle est également appréciée pour ses rues pittoresques, ses boutiques, ses cafés et son ambiance historique.
Voici la suite de l’Île Saint-Louis à Paris, les diapos n° 2 (quais d’Orléans et de Béthune) et n°3 (la rue Centrale Square Barye à la pointe de l’Île Saint-Louis)
Ci-dessous, Cath vous présente deux diapos reçus de son ami Charlie, consacrés à Bernard Buffet.
Bonjour à tous,
Mon diaporama sur les quais d’Orléans et de Béthune a suscité de nombreuses réponses dont celle – immédiate – de mon ami Charlie, l’artiste sculpteur. En retour, il m’adressait deux de ses innombrables diaporamas concernant un artiste parisien que j’avais cité : Bernard Buffet. Dans mon diaporama, j’avais placé le Pont de la Tournelle qu’il avait peint.
Puisque je l’ai cité, il m’a semblé important de vous transmettre ses œuvres rassemblées par Charlie.
Vous avez sans doute entendu parler de ce peintre. Il a demeuré quelques temps dans un superbe pavillon rue Cortot, près du musée Montmartre avant de s’implanter dans le midi de la France.
A-t-il été heureux ? Sans doute quand il a été adulé par les critiques d’art puis l’Art moderne, non figuratif, a pris le pas. Il n’a plus eu la vogue. De plus, il s’est vu tremblotant parce qu’il était atteint de la maladie de « Parkinson » et s’il ne pouvait plus peindre, il valait mieux en finir. Il a eu le courage de se suicider.
La semaine prochaine, si Dieu le veut ! (le monde est en ébullition), je vous adresserai mon 3e et dernier diaporama sur l’Ile Saint-Louis.