Le Kazakhstan

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Gilbert
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Le Kazakhstan est un pays situé en Asie centrale et en Europe de l’Est. C’est le plus grand pays enclavé du monde et le neuvième plus grand pays du monde en termes de superficie. La capitale et la plus grande ville est Nur-Sultan, anciennement connue sous le nom d’Astana.

Mosquée - Astana
Mosquée – Astana

Le Kazakhstan a une population diversifiée, les Kazakhs étant le groupe ethnique le plus important, suivis des Russes, des Ouzbeks et des Ukrainiens. La langue officielle est le kazakh, le russe étant également largement parlé.

Le pays a une économie mixte, les ressources pétrolières, gazières et minérales jouant un rôle important. Le Kazakhstan est également membre des Nations Unies, de l’Organisation de coopération de Shanghai, de l’EurAsEC et de la Communauté des États indépendants.

La ville de Karaganda
La ville de Karaganda

Karaganda est la quatrième plus grande ville du Kazakhstan, située dans la partie centrale du pays. C’est un centre industriel important, avec une présence importante d’industries minières et métallurgiques. La ville a une population de plus d’un demi-million d’habitants et une composition ethnique diversifiée, les Kazakhs, les Russes, les Ukrainiens et les Allemands étant les groupes les plus importants.

La ville a une histoire riche, avec des preuves d’habitation humaine remontant à l’âge de pierre. Au début du XXe siècle, Karaganda a été établie en tant que centre d’extraction du charbon et de la métallurgie, entraînant une croissance démographique et une urbanisation rapides.

Aujourd’hui, Karaganda continue d’être un centre économique majeur, avec un secteur industriel florissant et un secteur des services en pleine croissance. La ville possède une infrastructure bien développée et une scène culturelle en pleine croissance, avec de nombreux musées, théâtres et festivals.

En conclusion, le Kazakhstan est un grand pays diversifié et économiquement important situé en Asie centrale et en Europe de l’Est. Karaganda est une grande ville du Kazakhstan, avec une histoire riche et une présence significative dans le paysage industriel et culturel du pays.

 

Karaganda c’est aussi une triste page de l’histoire, avec le camp 99 chanté par THIEFAINE.

Le camp de Karaganda 99, également appelé Steplag, était un camp de travail de l’Union soviétique dans la région de Karaganda, au Kazakhstan. Il a été créé dans les années 1930 et a fonctionné jusqu’en 1950. Les prisonniers politiques, les personnes autorisées comme ennemis du peuple et les criminels y étaient détenus et soumis à des conditions de travail difficiles et à une répression brutale.

Des milliers de personnes y ont perdu la vie en raison de la faim, du froid et de la maltraitance, et de nombreux prisonniers y ont été supprimés. Le camp de Karaganda est un exemple tragique de violations des droits de l’homme commises sous le régime soviétique.

Ci-dessous la vidéo de Hubert-Félix Thiéfaine transmise par Cat, ainsi que deux documents pdf, l’un reprenant les paroles de «Karaganda camp de la mort» et l’autre traitant de la biographie du chanteur.

Karaganda - Félix THIEFAINE

Karaganda – Félix THIEFAINE

Les Œuvres d’Art du musée d’Orléans de la Renaissance au Baroque

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Bonjour à tous,

Après le musée de Cluny…..

Orléans
Orléans

Il est possible que je ne fasse plaisir qu’à mes peintres amateurs que je côtoie de temps à autres ou à mes historiens de l’art en leur adressant mon diaporama sur les peintres du musée des œœBeaux-Arts d’Orléans mais j’ajoute aussi l’un des diaporamas de Charlie sur Fra Angelico.

Comme vous le savez, Orléans est une ville superbe et surtout riche en Histoire. Notre Jeanne d’Arc est venue défendre la ville contre les Anglais et depuis elle est devenue l’héroïne des Orléanais. On la voit partout !

Quartier historique
Quartier historique

Ce qui est étrange, c’est de constater que le duc d’Orléans – qui était revenu d’une longue captivité – a été particulièrement généreux avec la famille d’Arc, suite à la fin tragique de Jeanne. Pourquoi ? Mystère ! Sa mère « nourricière » (pas sûr qu’elle soit sa mère biologique) et deux de ses frères sont décédés à Orléans de leur belle mort après avoir reçus une maison et des terres à exploiter.

Donc, Orléans possède bien sûr son passé mais aussi des trésors dont des toiles de maitre rassemblées dans son superbe musée récemment rénové. Ce sont des « petits maîtres », peu connus. Mais aujourd’hui qui peut prétendre peindre aussi bien !

La Loire à Orléans
La Loire à Orléans

Donc voici les œuvres de ces peintres de la Renaissance (peintres Italiens, Flamands, mais aussi Français), avec mon analyse succincte pour chaque tableau, analyse qui n’a pas hélas la saveur de celles de mon amie Olga (je vous ai déjà transmis plusieurs de ses diaporamas) .

Je vous en souhaite bonne réception et bonne lecture.

A bientôt,

Mes amitiés,

Cath

Télécharger Les Œuvres d’Art du musée d’Orléans

Télécharger Guidolino Di Pietro surnommé Fra Angelico

Différents diaporamas et vidéos transmis par Cath

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En parallèle à ses créations, Cath nous transmet régulièrement un certain nombre de documents, pour la plupart reçus de ses ami(e)s.

En marge des créations de Cath, retrouvez une partie de ceux-ci ci-dessous. Et l’on commence tout de suite avec un diaporama et une vidéo consacrés pour le premier à l’incendie de Notre-Dame de Paris, pour la seconde, aux fouilles préventives organisées sur un peu plus d’une centaine de mètres carrés à la croisée du transept.

Notre-Dame de Paris - Fouille préventive à la croisée du transept.
Notre-Dame de Paris – Fouille préventive à la croisée du transept.
La funeste soirée du 15/04/2019 à Paris
La funeste soirée du 15/04/2019 à Paris

Revenons quelques semaines en arrière. C’était Noël ! Cath nous présente un diaporama intitulé «Le bœuf et l’âne dans les peintures de la Nativité».

Noël roman : la Nativité
Noël roman : la Nativité

 

Le bœuf et l'âne dans les peintures de la Nativité
Le bœuf et l’âne dans les peintures de la Nativité

Pour rester dans le temps de Noël et des fêtes, voici successivement :

  • «The Little Drummer Boy», beaucoup plus connu pour nous aujourd’hui sous le titre de «l’enfant au tambour»
  • En complément, une vidéo de «l’enfant au tambour» qui m’a été transmise par Jean-Luc

 

The Little Drummer Boy - l'Enfant au Tambour
The Little Drummer Boy – l’Enfant au Tambour

 

l'Enfant au Tambour - Christmas Concert
l’Enfant au Tambour – Christmas Concert

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les trésors moyenâgeux du Musée de Cluny de l’époque antique au début de la Renaissance

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Cette semaine Cath nous propose une plongée au Musée de Cluny à Paris. Laissons là nous présenter elle-même sa publication.

Fin novembre, à la demande de notre ami Jean-Pierre, nous avons visité le musée de Cluny à Paris.

Ce vaste musée présente uniquement l’art du haut-moyenâge au début de la Renaissance (magnifiques tapisseries de la Dame à la Licorne entre autres) et quelques vestiges de l’époque gallo-romaine.

Ce musée était autrefois l’hôtel de Cluny qui appartenait aux moines de Cluny (région de la Bourgogne-Franche Comté). Puis sous Napoléon 1er, Alexandre Du Sommerard, un conseiller à la Cour des Comptes et archéologue, collectionna des œuvres d’art du moyen-âge. Il en avait tellement qu’il loua le frigidarium des thermes romaines (des ruines) qui jouxtaient l’hôtel de Cluny.

En 1842-1844, l’hôtel de Cluny est acheté par l’Etat et la collection de cet éminent personnage est présentée au Public. Depuis cette date, le musée a été rénové plusieurs fois et est ouvert de nouveau depuis quelques mois après des travaux de grande envergure.

Bien sûr, je l’ai trouvé très intéressant, d’autant que les tapisseries de la Dame à la Licorne y sont exposées. Et c’est sans doute grâce à George Sand (maîtresse éphémère de Prosper Mérimée) que nous avons, aujourd’hui, la chance de les admirer.

J’ajoute à mon envoi un petit documentaire (un peu long) sur la Licorne d’après la revue d’histoire de la pharmacie, article paru en 1972. Il intéressera très certainement notre ami Pierre, biologiste connu dans tout Epernon.

En cliquant sur l’image ci-dessus, le diaporama de Cath

Par ailleurs, l’émission « Des Racines et des Ailes » a présenté son documentaire « Quand Paris s’appelait Lutèce » qui a été enregistré. Cliquez sur le lien si vous voulez le visionner :

A bientôt,

Amicalement,

Cath

Fernande Olivier, la muse de Pablo Picasso

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Souvenirs intimes - Pablo Picasso
Souvenirs intimes – Pablo Picasso

Un jour, place Ravignan, devant la « Maison du Trappeur », (ateliers infâmes des pauvres artistes peintres, appelés plus tard le Bateau-Lavoir par Max Jacob), la belle Fernande croise l’espagnol Pablo Picasso. Il est seul et dépressif à ce moment là. Il tente sa chance. Elle accepte de devenir son modèle.

Par la suite, il la veut pour lui exclusivement. Il l’enferme dans son minable atelier du Bateau-Lavoir. Et dans ce réduit infâme, le couple est en mal d’enfant. Alors, Fernande a la permission de sortir de son capharnaüm pour choisir un enfant à l’orphelinat. Elle revient alors avec une adolescente de 13 ans. Picasso commence aussitôt à faire son portrait. Puis, il la dénude. Fernande, sans doute après une violente dispute, a ramené immédiatement la gamine là où elle l’a prise. Que c’est-il passé ? Attouchements ou viol ? ou simplement crise de jalousie. Il n’a plus été question d’adoption. Cette histoire a été souvent racontée mais aucune preuve néanmoins.

Gertrude Stein
Gertrude Stein

Puis, grâce à l’américaine Gertrude Stein qui achète des toiles de Picasso dont certaines partent aux Etats-Unis, la situation financière du couple s’améliore. La belle Fernande et Picasso s’installent dans un bel immeuble bd de Clichy, pas très loin de l’atelier du Bateau-Lavoir que l’artiste se conserve. Et à partir de ce moment, Picasso étant un peu connu, a des relations parmi les peintres, c’est le rejet de la belle Fernande pour une autre.

Télécharger

Cath nous y a habitué… elle vous offre un diaporama qu’elle a reçu, signé Georges Barbier.

J’ajoute donc un diaporama d’Altapi sur un dessinateur de mode que j’affectionne beaucoup : Georges Barbier. Il a travaillé pour le Grand Couturier Paul Poiret (qui avait son salon pour son défilé de mode au rond-point des Champs-Elysées). Imaginez donc la belle Fernande présentant ses modèles de robe !. Mais déjà, cette dernière n’avait plus « la vie en rose » et elle tirait le « diable par la queue » avant de trouver le pauvre diable qui pourrait l’héberger !

Cath

Téléchargez en cliquant sur la photo ci-dessous.

Gouaches de Georges Barbier
Gouaches de Georges Barbier

 

Marie de Rabutin-Chantal, Marquise de Sévigné

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Voici un documentaire sur une grande dame connue de tous : Mme de Sévigné.

Comme vous le savez, je suis allée au musée Carnavalet (PPS : les enseignes du musée Carnavalet) et je me suis dit qu’il fallait absolument que je réalise un diaporama sur sa locataire qui y a demeuré une 20e d’années, n’occupant que le rez-de-chaussée mais pouvant néanmoins avoir du personnel à demeure et recevant beaucoup dans son « salon ».

Il m’a semblé qu’il était important d’en dire deux mots aux adhérents de mon association qui ont visité ce musée mais qui n’ont pas eu le loisir de se rendre dans toutes les salles et surtout d’avoir quelques renseignements sur cette épistolière de talent.

Cath

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En «bonus», ci-dessous, téléchargez «les œuvres d’Oleg ZHIVETIN» et «La Féérie des couleurs de Samarkand» (en cliquant sur la vignette correspondante).

Surtout ne pas cliquer à chaque vue sur le diaporama des mosquées de l’Ouzbékistan : il défile tout seul. Sinon, vous ne verrez que 4 photos.

les œuvres d’Oleg Zhivetin
La Féérie des couleurs de Samarkand

Hôtel Groslot à Orléans

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Quand on évoque Orléans, on pense à ses nombreuses églises et chapelles, au pont de l’Europe, au palais épiscopal, aux parcs omniprésents, au festival de jazz, ses fêtes johanniques, son île aux machines… Cath nous fait visiter en particulier l’Hôtel Groslot.

Gilbert

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, je vous emmène à Orléans.

Palais épiscopal – Orléans

Lorsque l’on visite cette magnifique ville, on se rend tout de suite à la Cathédrale pour admirer ses vitraux relativement récents puis au Musée des Beaux-Arts qui est remarquable et enfin un vague coup d’œil à la Loire, vers le pont reconstruit au 18e siècle et appelé Pont George V (en hommage au souverain anglais).

Peu de visiteurs, hélas, à l’hôtel Groslot et pourtant…….

Cathédrale Sainte-Croix – Orléans

Cet hôtel fut construit à la demande du bailli Pierre Groslot, éminent personnage mais huguenot. A sa mort, cet hôtel fut le lieu de rassemblement des huguenots et Jérôme, fils de Pierre, dût néanmoins recevoir la famille royale (Catherine de Médicis, son fils François II, les Guises et déjà les courtisans). Toutefois, malgré sa générosité forcée, il est assassiné peu avant la Saint-Barthélémy.

Dès que l’on franchit le portail, on aperçoit la statue de Jeanne-d’Arc. Pourquoi diable, une sainte catholique devant un splendide hôtel renaissance d’une famille protestante ? C’est Marie d’Orléans, la fille du roi Louis-Philippe qui en est l’auteur. Elle la réalise parce l’hôtel vient d’être acheté par la ville, qu’il est entièrement restauré et agrandi (deux ailes) pour devenir l’Hôtel de Ville. Et à cette époque, Jeanne est vénérée dans toute la France mais pas encore sainte. Elle ne le sera qu’en 1920 !

Jeanne d’Arc a sauvé Orléans et, après la victoire sur les Anglais et Bourguignon, a accompagné Charles VII à Reims pour son sacre. Elle est devenue une figure emblématique de la ville.

Mais qui est Jeanne ? Une petite bergère qui a entendu des voix ? Une petite paysanne qui a pu convaincre les sieurs Baudricourt puis Dunois de l’accompagner pour se rendre d’abord à Chinon puis à Orléans ? A Chinon, pourquoi se dirige-t-elle directement vers le roi alors qu’elle ne le connait pas et pourquoi celui-ci la loge immédiatement dans son château ? Tout cela parait aujourd’hui incohérent. Toutefois, dans ce tissu d’erreurs volontaires, il y a sans doute un peu de vrai.

On sait aussi que la famille d’Orléans (Charles, père du futur roi Louis XII) a été très généreuse avec la mère et le frère de Jeanne et qu’ils sont décédés tous deux à Orléans. Pourquoi ne sont-ils pas restés à Donrémy ?

Et pourquoi, aujourd’hui, nos historiens hautement qualifiés n’arrivent-ils pas à trouver la vérité dans ce fatras de mensonges ?

J’ai trouvé sur le web un diaporama historique et bien explicite sur Jeanne d’Arc.

Je vous souhaite une bonne lecture et…. A bientôt, Amicalement,

Cath

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Petit cadeau supplémentaire de Cath, téléchargez

«Jeanne d’Arc la Pucelle de Lorraine , Sainte de la Patrie»

Les sculptures de Brigitte Pelen

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Bonjour à tous,

Cette fois, je vous entraîne à Chartres, à la Collégiale Saint-André où Brigitte Pélen a exposé ses sculptures.

C’est mon maître de la photo de Droue-sur-Drouette qui, émerveillé par ces sculptures en ciment alumineux, m’avait suggéré d’y aller. Bien sûr, j’étais comblée.

J’ai présenté mon travail à la sculptrice qui a procédé à quelques modifications.

Pour son exposition, son ami, Guy Jutard, a écrit deux poèmes qui n’ont pas été ajoutés au diaporama suivant l’avis de l’exposante mais ils sont tellement beaux que je vous les transmets quand même.

Je vous souhaite, comme moi, d’être transportés.

A bientôt,

Amicalement,

Cath

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